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Bien que né en Afrique du Sud, je suis de nationalité suisse. J'ai effectué
toutes mes études primaires, secondaires et universitaires en Afrique du Sud
et en Rhodésie (aujourd'hui Zimbabwe).
Comme j'aime beaucoup voyager, j'ai visité la plupart des régions de la Suisse.
La lecture est l’une de mes occupations préférées, de même que la collection de
timbres. La randonnée est aussi l'une de mes passions. J'aime parcourir la région
où j'habite, Chêne-Bougeries, la ville de Genève et de différentes régions de Suisse.
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Ma formation
Je possède une licence en anglais et géographie de l'Université
d'Afrique du Sud, de même qu'un diplôme d’éducation du Collège d’Helderberg.
J’ai aussi une licence en mathématiques de l'Université du Cap et un diplôme de
mathématiques de l'Université de Rhodésie.
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Mon expérience en tant qu'enseignant
J'ai enseigné les mathématiques durant de nombreuses années
auprès de différentes missions en Rhodésie au niveau secondaire et j'ai aussi
contribué à la formation des enseignants. Dans une autre école de Rhodésie j'ai
enseigné les mathématiques durant quelques années tout en m'occupant l’après-midi
d'étudiants réunis autour de ma table de salle à manger afin d’améliorer les
connaissances en maths.
Quelques années plus tard, dans la région du Cap, j'ai été nommé chef du département
de mathématiques, responsabilité que j’ai assumée durant plus de 6 ans dans une
grande école publique, tout en enseignant les mathématiques presque à plein temps.
En même temps j’ai donné des cours particuliers de mathématiques l'après-midi chez moi.
Dès mon arrivée en Suisse, fin 1993, j'ai donné à plusieurs reprises des cours
de maths en remplacement à l'Ecole Internationale de Genève (Campus LGB) aux
niveaux primaire et secondaire. A partir de ce moment j'ai enseigné les
mathématiques de plus en plus souvent à titre privé.
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Mes points forts
Je ne possède pas de maîtrise ni de doctorat. Je suis tout
simplement professeur de maths. Alors que de nombreux professeurs de mathématiques
titulaires d'un doctorat sont d’excellents enseignants, le fait d'avoir rencontré
de sérieuses difficultés afin d’obtenir ma licence en maths bien des années
après avoir quitté le lycée, s'est avéré un énorme avantage dans mon enseignement.
Je sais ce que signifie lutter pour réussir en maths. J'avoue parfois à mes
élèves que si j'y suis arrivé, n’importe qui peut y parvenir. En tant que
tuteurs de maths, il est important de motiver nos élèves pour qu’ils désirent
réussir dans cette branche. C’est aussi l’occasion pour nous de souligner à
nos élèves les précieuses valeurs de la vie.
En classe, j’ai souvent proposé de procéder par petites étapes pour que les élèves
puissent suivre plus facilement tandis que j’élaborais la solution. Au fil des
années, j'ai continué de la même manière pour mes cours particuliers. Ma femme,
qui enseignait la dactylographie et le traitement de texte dans le couloir près
de l'entrée du notre salon entendait très souvent un élève s'exclamer joyeusement
surpris: "Ah, c'est tout?"
Bien sûr, lorsque je constate qu’un élève ne possède pas les bases mathématiques
suffisantes, je reprends au début et lui enseigne à additionner, soustraire,
multiplier et diviser les nombres entiers positifs et négatifs, etc. J’essaye
de lui faire comprendre que s’il maîtrise la bonne conception du problème et
est capable de calculer correctement, il a toutes les chances de réussir.
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